Il faut saluer les efforts et décisions pris par le gouvernement depuis l’annonce de ce fléau.
Il faudrait également encourager nos cadres à être à l’écoute afin d’améliorer les décisions antérieures et les adapter au mieux à notre cas.
Devant ce virus, qui selon les scientifiques, mute régulièrement, soyons préparés pour faire face à plusieurs scénarios.
L’hypothèse la moins avantageuse pour notre pays serait que ce virus mute selon l’environnement. Ceci voudrait entre autres dire qu’il faudra peut-être une solution béninoise ou subsaharienne.
L’une des occasions pour chacun de prier le seigneur est que des vaccins soient trouvés et mis à disposition de la planète entière.
Pour le moment, il faudrait prendre les mesures adapter à notre environnement.
Faudrait-il que nous gaspillions le peu de resources disponibles pour soigner des cas importés ?
Si c’est l’un des objectifs visés, alors mettons nous en partenariat PPP avec les hôteliers et commençons à promouvoir le tourisme sanitaire. Avec de la chance, les touristes payeront à l’avance l’addition et celle-ci permettrait de financer des recherches afin de moderniser notre système sanitaire.
Si nous comptons réserver le peu que nous avons aux cas nationaux ou déjà existants, l’objectif principal serait de tout évidence de limiter de nouvelles entrées dispensables.
Depuis fin février, nous aurions pu éviter plusieurs entrées sur notre territoire. Si nous prenons cette décision tardivement, c’est qu’elle aurait dû être prise à temps.
Les vrais problèmes sont devant nous, et je fais confiance à notre gouvernement pour protéger notre société, sécuriser chaque foyer, informer et trouver des solutions avec et pour la population.
Ulrich Tevi