Le coronavirus nous met fasse à des défis auxquels il faudra trouver des réponses que nous n’avons pas encore.
C’est pour la première fois que l’économie mondiale est freinée à ce point, que les frontières sont fermées, que donner la main à son prochain est un périple.
Nous n’avons certes pas les moyens, mais nous avons notre intelligence.
Parmi les personnes soupçonnées et mises en quarantaine, et aussi celles ayant déjà été en contact avec le virus, il y a celles qui disposent de nationalités européennes ou américaines. Avec celles-là, nous pourrions négocier un retour. Si elles acceptent de repartir, l’Etat pourrait se charger de leurs offrir des billets de première classe afin d’être mieux pris en charge dans des pays développés et d’assurer notre sécurité.
Par ailleurs, cette mesure nous permettra d’économiser nos maigres moyens afin de les consacrer aux dépistages des cas internes.