Cinq hauts responsables d’un des principaux partis d’opposition oromo, l’ethnie la plus importante d’Ethiopie ont été arrêtés ces derniers jours. Leurs interpellations sont intervenues dans le cadre des violences qui ont fait 166 morts après le meurtre d’un chanteur populaire. « Nous ne savons pas pourquoi ils ont été appréhendés », a affirmé Dawud Ibsa, le président du Front de libération Oromo (OLF) cité par le même média.