Dans leurs contre-symbolisations et en tant que contre-images de Horus, divinité égyptienne, protectrice de la souveraine et noble régence, les « tontons régenteurs » actuels des cités khemites, ne s’illustrent que dans l’aspect physiquement rapace, de ce majestueux faucon qu’est Horus. Confondant le signe « lointain », de Horus, ce dieu égyptien pourtant de la bonne gouvernance, au caractère hautain de leurs propres insolences, ils sabordent tout. Ainsi, ce qui lessive la terre khemite et lézarde, presqu’irrémédiablement, les murs de cette « terre noire », c’est cet âpre combat entre le « pour » et le « contre », où le « contre », semble s’imposer, en seul et inique dessein. Dans ce schéma, l’estomac devient le point nodal de toutes les contre-convergences des tontons. De fait et, égoïstement, Douamoutef, l’un des quatre enfants d’Horus, en sa qualité de divinité protectrice de l’estomac des mortels en transit, se commet alors, ici, comme seul héritier de Horus, dans l’optique du vécu de nos tontons. Ce qu’ils ne savent cependant pas, nos tontons, c’est qu’en promouvant, de cette façon, la primauté de Douamoutef, celui-ci, en retour absolu de contre-investissement, consacre, tout autant, le programme de la déchéance et de l’errance éternelles de leurs âmes, même si lui, Douamoutef, rigoureux dans ses attributions, préserve et assure leurs estomacs. Bien hélas, pour eux nos tontons, « De contre-performances…Sur contre-élégances…En fond de contre-vérités…Ils pataugent… dans des contre-dignités ».
Dans les cités khemites…avec les tontons…seule…est authentique…la première syllabe de tout « mandat électoral »…dans le son [mã] qui annonce celui-ci…ce même son…[mã]…qui ouvre…les incalculables festivals…des tontons…à nourrir le verbe « mentir »…de leurs définitions intrinsèques. Pour les tontons donc, deux choses comptent : la boulimie de deniers publics et l’extension de la gabegie…en pouvoir absolu de torpilles. L’empreinte…qui devrait être le départ et la boussole du mandat…vient…à la fin…en séances loupées de rattrapages…éhontés. De recherches de marques en recherches de marques…en désespoir de cause…ils finissent…les tontons…en mendiants…de nouveaux mandats…étendus…à l’infini…inconséquents livreurs…de vagues discours sans mots…sans motifs…pour rien que des maux…aux ayant-droits : Douamoutef…gardien des estomacs…assure bien. Ouattara…3ème mandat…Nguesso…4ème mandat…Biya…sans décompte de mandats. Tous…contre-indiqués… Le virus de Wouhan…trop ordinaire…celui-là. Ceux d’ici…de la maison khemite…en incurables solutions…plus dévastateurs…mais…validés…par « petit-Français ». Pour les « petits Nègres »…point besoin de parler de corrosions du temps…d’alternances des saisons…électorales…de mandats limités. En RDC…joli carnaval…à l’assemblée… Jeannine Mabunda…Présidente pro-Kabila…destituée… Fête à Kinshasa…sur « le boulevard triomphal »…pour les pro-Tshisekedi. C’est ainsi, chez les tontons, où, « De contre-performances…Sur contre-élégances…En fond de contre-vérités…Ils pataugent… dans des contre-dignités ».
« Petit-zeus »…échec total…sur toute la ligne… Pour la CADPH…retour…à la case départ. Quant à Joël Aïvo…deuxième rendez-vous…avec Porto-Novo…deuxième impossibilité…de rencontre. Cette fois-ci, COVID-19…Version téléphone…plus virulent que celui chinois…Pas de compétition…avec « petit-zeus »…propriétaire de l’hypothèque des lieux… Le protéger…à tout prix…car trop proche…à Cotonou… Confinement…contre sorties…trop libératrices du peuple…de Aïvo…contre virus d’authenticité…de vérité…mais…surtout…contre virus…en propagation libre d’éducation du peuple…d’éveil du peuple…de réveil du peuple…de sa torpeur…de son endormissement…impératif national. De fonds de renflouements financiers…la COVID-19…devenue…fonds de roulement politique…de redditions de contre-compte…pour contre-redditions de comptes. Ils sont forts…les tontons…et…« De contre-performances…Sur contre-élégances…En fond de contre-vérités…Ils pataugent… dans des contre-dignités ». Mais, dans les cités, plus personne n’est dupe. La face de la farce est révélée.