Dans ses déli-res du « bloc de lunes » écoulé, le « Prof » a essayé de nous renouer avec nous-mêmes, à travers certaines des divinités qui fondent notre existence khémette. L’espoir était que notre train, prétendument parti de la gare mais jamais en réel mouvement, cesse de voir ses roues patauger, à vide, tels sur d’éternels clapotis de douleurs. Dans le prolongement de cette exploration, c’est avec OSIRIS, dieu de la végétation et des sols fertilisés chez les Khémets, que nous plongerons en ce début d’un nouveau « bloc de lunes ». Par son statut de premier né des enfants de ZEB, lui-même dieu khémet de la terre, c’est OSIRIS qui assure la croissance et la prolifération des bonnes récoltes, ainsi que le renouveau et le verdissement des champs. Assassiné par Seth, son propre frère, OSIRIS fut ramené à la vie, par la puissance de l’amour que lui portait ISIS. Comme quoi, une nouvelle vie est toujours possible, tant que l’amour guide et inscrit de nouveaux paramètres dans les interactions. Sauront-ils jamais épouser ces vertus de l’amour, changer de paradigmes, les « tontons régenteurs de nos cités », puisque, « D’éternels retours…À case départ…Sur contagions massives…De déshumanisation…Ils étalent…Ritournelles de sortilèges »?
La ZLECAF, plus vaste marché commun et, lancé en terre khémette, est entrée en vigueur en ce début de « bloc de lunes ». Ze Belinga, l’économiste de chez Biya, y croit dur comme fer. Utile pour contrer les invasions venant de l’au-delà nos mers, pense-t-il. En polyphonie, avec Ze Belinga, les planteurs ivoiriens et ghanéens de cacao et de café, décident de s’affranchir des tontons et de leurs diktats des ailleurs qui les ruinent, les spolient et gangrènent leurs revenus. Si OSIRIS verdit autant leurs champs, ce n’est pas, pour les maigres 6%, des 100 milliards de dollars, que génèrent les bonnes récoltes dont les gratifie OSIRIS. Halte donc aux multinationales! Finie la pression des tontons, tonnent les cultivateurs! Des champs aux mièvreries politiques, un autre « chaos à la tonton », chez Touadera, en RCA. 54%...Élections sans bureaux…sans votes. Pour les tontons, pas besoin d’œufs, les poules, pour faire des poussins! Non loin de Bangui, à 150 kms, Bozizé fait le show… À chaud, le procureur ouvre une information judiciaire contre lui. Vide de sens, tout ceci! Danse à la chaux vive…danse des muscles et de passe-passe « Touadera-Bozizé ». Dans leurs corps à corps, les tontons entonnent la même cacophonie : mort au peuple! À Libreville, pour 2021, la main sur le cœur, Bongo se résout…enfin, Dira-t-on en quolibet… à réaliser les projets de 2020, qu’il pensait réaliser en 2019, puisqu’en 2017, il avait déjà renvoyé leurs réalisations pour 2018. Morbides reality-shows des tontons : « miroir-miroir, dis-moi qui est le plus vil ». Aucun des tontons pour ramener les autres à la raison…pour quelque résultat…probant! Pauvres bêtes épaves, ces tontons! Incapables de ramasser leurs épaves…Cadenas rouillés…sur cerveaux encrassés! Plus cela change, pire c’est, avec les tontons et, « D’éternels retours…À case départ…Sur contagions massives…De déshumanisation…Ils étalent…Ritournelles de sortilèges ».
Chez « petit-zeus », Même règne de la médiocrité! Kakistocratie assumée! Viol des cultures! Tempêtes sur l’école! Réalisations…pathologiques…telles grossesses nerveuses, sans nerf! Inexistantes! Mains basses sur tous les produits des champs! En symbiose, avec les autres tontons! Pour l’instant, OSIRIS assiste, impuissant, à ce que « D’éternels retours…À case départ…Sur contagions massives…De déshumanisation…Ils étalent…Ritournelles de sortilèges », en attendant que leurs shows ne prennent fin, aux tontons.