Littérature : Rodrigue AHISSOU livre son commentaire sur la pièce de théâtre Raison d'État de Ferdinand Sourou MISSENHOUN

Raison d' Etat ou la voix idéale de la voie du salut

Anaïza
Le Fa

un avenir flou, sombre, ombrageux et rugueux pour le futur président
Raison d' Etat jeté in media res

flou, sombre, ombrageux et rugueux
épargné

Il évoque le passé, le Fa. Il détermine la qualité du présent, le Fa. Il prédit le futur, le Fa.

crime de sang
A la CRIET du Fa, l'accusé, pour être libéré, comme dans "Le verdict du vodoun"

Digression, appels, complots pour éliminer le Babalawo se sont révélés vains. Au pied du mur et au Tribunal du Fa et de son interprète le juge téméraire et très intelligent, Anaïza a fini par lâcher le morceau, l' arrête du poisson innocent tué pour camoufler un crime :

C' était un jeudi soir. Le président était en visite secrète de trois jours dans l' un des pays voisins. Tout était planifié pour que notre plan aboutisse avant son retour. Au départ, nous n'avions pas l' intention de lui faire du mal
Ovingand
au coeur du palais

les vers du nez

Raison d' Etat suscite la raison légitime de le lire pour comprendre certains secrets des États, des politiques et tout ce que l'Homme, ayant la boulimie du pouvoir, est capable de faire pour accéder au pouvoir.

assimilé sans être assimilé

Rodrigue AHISSOU, Professeur de Lettres.