Puissent les autorités communale et gouvernementale continuer d'accompagner ce panafricanisme utilisé pour faire connaître Ouidah et le Bénin en donnant les moyens pour la pérénisation de son institut de développement endogène et d'échanges.
Paix à son âme et toutes mes condoléances les plus attristées à sa famille.
Faustin AISSI